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Simon
Âge : 23
Arcane liée : tempérance
Occupation : étudiant au Divinatory College + guide touristique
Avatar : Sugawara Kōshi
Messages : 108
Arcane liée : tempérance
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Hey, Simon, viens prendre une bouchée
Qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?
Bien déjà, y'a la pression d'être dans un de ces restaurants-bars-pubs-fusion étranges, genre, décidez-vous, c'est pour la bonne bouffe ou pour s'éclater ? Il sait jamais trop comment se comporter et encore moins quoi commander. Ici à son plus grand malheur, pas de boisson sans alcool : il est coincé à siroter son jus de pomme et à supporter les regards sur lui. Ensuite, y'a le stress de trouver un repas non, pas végétarien, végan, monsieur dans le menu – recevoir son assiette et ne même pas être certain qu'on ait été cent-pour-cent honnête avec lui.
Mais le pire,
et il s'en veut de ressentir ça,
c'est de voir Axel, si à l'aise, si confortable.
Un poisson dans l'eau
et lui avec un scaphandrier percé.
Et en retour, il sourit, il rit avec elle – il est pas celui qui viendra casser l'ambiance, hors de question ! Toutes les petites frustrations, il les refoule au plus profond de lui-même, et jamais on ne devinerait son inconfort, son envie de se cacher sous la table et s'enfuir. Non. Il passe un bon moment. Et il s'en convainc lui-même.
Mais y'a quand même quelque chose qui le taraude dans les moments de silence. Durant un d'eux, il n'essaie pas de le combler immédiatement par une blague, ou un nouveau sujet de conversation. Plutôt, sa main rejoint son cou pour le masser. Les yeux se figent dans l'assiette alors qu'il demande tout doucement :
« Dis… comment tu fais pour, eh, être si bien avec les gens ? »
Qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?
Bien déjà, y'a la pression d'être dans un de ces restaurants-bars-pubs-fusion étranges, genre, décidez-vous, c'est pour la bonne bouffe ou pour s'éclater ? Il sait jamais trop comment se comporter et encore moins quoi commander. Ici à son plus grand malheur, pas de boisson sans alcool : il est coincé à siroter son jus de pomme et à supporter les regards sur lui. Ensuite, y'a le stress de trouver un repas non, pas végétarien, végan, monsieur dans le menu – recevoir son assiette et ne même pas être certain qu'on ait été cent-pour-cent honnête avec lui.
Mais le pire,
et il s'en veut de ressentir ça,
c'est de voir Axel, si à l'aise, si confortable.
Un poisson dans l'eau
et lui avec un scaphandrier percé.
Et en retour, il sourit, il rit avec elle – il est pas celui qui viendra casser l'ambiance, hors de question ! Toutes les petites frustrations, il les refoule au plus profond de lui-même, et jamais on ne devinerait son inconfort, son envie de se cacher sous la table et s'enfuir. Non. Il passe un bon moment. Et il s'en convainc lui-même.
Mais y'a quand même quelque chose qui le taraude dans les moments de silence. Durant un d'eux, il n'essaie pas de le combler immédiatement par une blague, ou un nouveau sujet de conversation. Plutôt, sa main rejoint son cou pour le masser. Les yeux se figent dans l'assiette alors qu'il demande tout doucement :
« Dis… comment tu fais pour, eh, être si bien avec les gens ? »
Axel
Âge : 24
Arcane liée : l'amoureux
Occupation : étudiante cursus danse
Avatar : nami - one piece
Messages : 4
Arcane liée : l'amoureux
Occupation : étudiante cursus danse
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hey, Simon, viens prendre une bouchée
parce que j’étouffe, que la soirée ne fait que commencer ; parce que ça fait partie de mes envies spontanées, tu sais, celles qui me prennent lorsque l’ennui guette et que je vois la vie défiler sans en profiter
c’est maladif.
ici, au moins, on rit, loin des pensées mauvaises qu’inspire la monotonie, on ne voit pas le temps passer quoique durant les moments de silence, je compte les secondes jusqu’à ta question ;
Hein ? qui m’échappe, spontané.
puis je le ravale, me redresse sur la chaise et te regarde, tête penchée.
Les gens d’ici ou en général ? Déjà, il faut commencer par leur sourire.
réponse basique sauf que
la question résonne plus que je ne l’aimerais, me plonge dans une réflexion que je préfère éviter – je ne suis pas bien, jamais.
La question, c’est plutôt, pourquoi tu ne serais pas bien avec les gens, Simon ? T’as peur d’un truc ?
(comment je fais, Simon
je les aime un temps et les oublie le suivant, les consomme et m'en imprègne - je m'aime à travers eux
j'essaye.)
bras levé, je commande un deuxième verre, de jus de fruit pour toi, de liqueur pour moi ; cette discussion mérite d’être bourrée.
Vaut mieux être bien avec les gens, si tu veux les pecho. sourire narquois.
parce que j’étouffe, que la soirée ne fait que commencer ; parce que ça fait partie de mes envies spontanées, tu sais, celles qui me prennent lorsque l’ennui guette et que je vois la vie défiler sans en profiter
c’est maladif.
ici, au moins, on rit, loin des pensées mauvaises qu’inspire la monotonie, on ne voit pas le temps passer quoique durant les moments de silence, je compte les secondes jusqu’à ta question ;
Hein ? qui m’échappe, spontané.
puis je le ravale, me redresse sur la chaise et te regarde, tête penchée.
Les gens d’ici ou en général ? Déjà, il faut commencer par leur sourire.
réponse basique sauf que
la question résonne plus que je ne l’aimerais, me plonge dans une réflexion que je préfère éviter – je ne suis pas bien, jamais.
La question, c’est plutôt, pourquoi tu ne serais pas bien avec les gens, Simon ? T’as peur d’un truc ?
(comment je fais, Simon
je les aime un temps et les oublie le suivant, les consomme et m'en imprègne - je m'aime à travers eux
j'essaye.)
bras levé, je commande un deuxième verre, de jus de fruit pour toi, de liqueur pour moi ; cette discussion mérite d’être bourrée.
Vaut mieux être bien avec les gens, si tu veux les pecho. sourire narquois.
Simon
Âge : 23
Arcane liée : tempérance
Occupation : étudiant au Divinatory College + guide touristique
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Arcane liée : tempérance
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Sa question mal comprise. Simon prêt à s'enterrer six pieds sous terre – ou plutôt à la balayer, vite, du revers de la main, d'une blague, d'un rire, d'un sourire, tu vois comment il sourit ? Ta suggestion, il la trouve drôle, c'est une bonne blague.
Y'a pas un gars plus souriant que Simon
Il est le joyeux luron,
tu le sais,
c'est pour ça qu'on l'invite, qu'il est de si agréable compagnie
(c'est pour ça que tu l'aimes bien aussi, non ?
parce que c'est pour ça qu'il t'aime bien, en retour)
Mais quand ça devient sérieux, c'est plus difficile hein. Quand tu dis ce mot, quand tu dis peur, il ne sait pas quoi te répondre. Le sourire demeure, mais le regard se plonge dans son verre vide. Certainement qu'il a peur, mais il ne sait même pas de quoi. Qu'est-ce qu'on fait dans un cas comme ça ?
Axel, tu es crue, tu dis les choses comme elles sont, et tu lis en lui comme un livre ouvert, a-t-il l'impression. Tu dis cet autre mot, ce mot qu'il s'interdit, qu'il n'arrive même pas à prononcer, et qui le fait rougir jusqu'aux oreilles. Et il est déjà tellement vulnérable à ce moment-là, trop avancé dans ce sujet grave qu'il ne peut plus reculer, trouver une parade pour changer de sujet.
« Justement … ! »
Mot sifflé entre les dents, ses mains qui cherchent à mettre l'emphase sur une phrase qui ne vient pas. Il ne te regarde pas. Il voudrait se noyer dans son verre. Et pourtant il finit par marmonner :
« Comment c'est si facile pour toi ?! J'veux dire… tout le monde… ça a l'air si facile ? »
Et pourquoi lui n'y arrive pas
pourquoi a-t-il l'impression d'avoir été expulsé dans les relations adultes sans manuel d'instruction
pourquoi c'est si difficile ?
Y'a pas un gars plus souriant que Simon
Il est le joyeux luron,
tu le sais,
c'est pour ça qu'on l'invite, qu'il est de si agréable compagnie
(c'est pour ça que tu l'aimes bien aussi, non ?
parce que c'est pour ça qu'il t'aime bien, en retour)
Mais quand ça devient sérieux, c'est plus difficile hein. Quand tu dis ce mot, quand tu dis peur, il ne sait pas quoi te répondre. Le sourire demeure, mais le regard se plonge dans son verre vide. Certainement qu'il a peur, mais il ne sait même pas de quoi. Qu'est-ce qu'on fait dans un cas comme ça ?
Axel, tu es crue, tu dis les choses comme elles sont, et tu lis en lui comme un livre ouvert, a-t-il l'impression. Tu dis cet autre mot, ce mot qu'il s'interdit, qu'il n'arrive même pas à prononcer, et qui le fait rougir jusqu'aux oreilles. Et il est déjà tellement vulnérable à ce moment-là, trop avancé dans ce sujet grave qu'il ne peut plus reculer, trouver une parade pour changer de sujet.
« Justement … ! »
Mot sifflé entre les dents, ses mains qui cherchent à mettre l'emphase sur une phrase qui ne vient pas. Il ne te regarde pas. Il voudrait se noyer dans son verre. Et pourtant il finit par marmonner :
« Comment c'est si facile pour toi ?! J'veux dire… tout le monde… ça a l'air si facile ? »
Et pourquoi lui n'y arrive pas
pourquoi a-t-il l'impression d'avoir été expulsé dans les relations adultes sans manuel d'instruction
pourquoi c'est si difficile ?
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