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I don't wanna dance
Ah le 14 février... Comme si le froid, les jours raccourcis, l'entrée dans le mois des verseaux et l'absence de vacances scolaires ne suffisaient pas à rendre cette période suffisamment relou, il fallait rajouter une fête. Et pas n'importe quelle fête, la fête de l'amûûûr messieurs mesdames (pleeeaaaaase). LA fête donne à tous les commerciaux une excuse pour bombarder à outrance les honnêtes citoyens de pubs pour sex toys, chocolats et lingerie comme si les gens ne baisaient qu'une fois dans l'année. Charity trouve ça tout bonnement insupportable. Comme un peu près toutes les célébrations où elle est obligée de se coltiner du peuple pour faire bonne figure. Mais ah, une fois n'est pas coutume c'est aux Santer de jouer les hôtes pour le Bal d'Argent. Elle avait naïvement espéré pouvoir y échapper cette année suite au tragique incident de Monsieur Miller mais non, même la Mort elle-même ne pourrait pas l'absoudre de son devoir de Santer. Encore une fois, il allait falloir jouer le jeu.
Si elle enrage intérieurement, dans le fond Charity ne déteste pas le 14 février. Enfin pas tant que ça. Elle est juste un peu salée que Monsieur Santer ne soit pas à ses côtés. Et également de n'avoir pas tiré cette année la paire qui lui convenait. Quand même, cela fait plus de 15 ans de suite qu'elle n'a pas Morticia de la famille Addams, la seule protagoniste qui en vaille vraiment la peine ! Quoi, déjà maquée dîtes-vous ? Allons ce n'est pas parce qu'elle est mariée avec 3 enfants qu'elle n'a pas le droit de s'amuser ne serait-ce que le temps d'une soirée ! N'en déplaise à Monsieur Santer, Charity aurait bien aimé trouver le Gomez à son pied, juste pour rigoler quand même.
Mais ce soir, figurez-vous que c'est sur Jane Austen que Charity est tombée. Ce soir, Charity est Mr Darcy, un rôle qui en soit lui convient bien parce que niveau orgueil et préjugés on fait difficilement mieux qu'elle. Alors très soucieuse de coller au personnage, elle décide de ne faire absolument aucun effort pour trouver son Elizabeth. Plutôt que de se mêler aux convives, vous la trouverez plutôt dans un coin de la salle du bal, flanquée près du buffet à desserts, plus précisément de la fontaine à chocolat.
Dommage, si vous pensiez chipper un muffin ni vu, ni connu c'est raté. Pour une douceur, il vous faudra braver la Madame Santer dans sa belle robe carmine serrée, tirant rageusement sur sa clope en observant la foule derrière ses épaisses lunettes noires (pratique pour épier, on ne sait pas qui elle regarde précisément).
Manger du chocolat n'aura jamais paru aussi périlleux.
Si elle enrage intérieurement, dans le fond Charity ne déteste pas le 14 février. Enfin pas tant que ça. Elle est juste un peu salée que Monsieur Santer ne soit pas à ses côtés. Et également de n'avoir pas tiré cette année la paire qui lui convenait. Quand même, cela fait plus de 15 ans de suite qu'elle n'a pas Morticia de la famille Addams, la seule protagoniste qui en vaille vraiment la peine ! Quoi, déjà maquée dîtes-vous ? Allons ce n'est pas parce qu'elle est mariée avec 3 enfants qu'elle n'a pas le droit de s'amuser ne serait-ce que le temps d'une soirée ! N'en déplaise à Monsieur Santer, Charity aurait bien aimé trouver le Gomez à son pied, juste pour rigoler quand même.
Mais ce soir, figurez-vous que c'est sur Jane Austen que Charity est tombée. Ce soir, Charity est Mr Darcy, un rôle qui en soit lui convient bien parce que niveau orgueil et préjugés on fait difficilement mieux qu'elle. Alors très soucieuse de coller au personnage, elle décide de ne faire absolument aucun effort pour trouver son Elizabeth. Plutôt que de se mêler aux convives, vous la trouverez plutôt dans un coin de la salle du bal, flanquée près du buffet à desserts, plus précisément de la fontaine à chocolat.
Dommage, si vous pensiez chipper un muffin ni vu, ni connu c'est raté. Pour une douceur, il vous faudra braver la Madame Santer dans sa belle robe carmine serrée, tirant rageusement sur sa clope en observant la foule derrière ses épaisses lunettes noires (pratique pour épier, on ne sait pas qui elle regarde précisément).
Manger du chocolat n'aura jamais paru aussi périlleux.
Capt'n Gallows
Âge : 54 ans.
Arcane liée : XIIIè, la Mort.
Occupation : Retraité.
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Charity et la chocolaterie
Aye me hearties
Les festivités étaient trop calme pour l'esprit turbulent du bon vieux Capitaine, qui avait au moins fait l'effort de mettre un costume propre et distingué, boléro et manches courtes de sortie pour exposer ses bras de travailleur parmi les riches fils de banquiers ou d'assureurs. Hélas, l'habit ne faisait pas le moine, et il parvenait difficilement à réfréner ses envies de hurler et de gigoter comme un automate cassé. Le vieux monsieur comptait profiter de l'ambiance joviale, et se faire jeter dehors n'était plus une option. Tous ces petits gens l'amusaient, à se chercher en riant, à échanger leurs invitations. À vrai dire, Connor ne savait même pas quel nom était inscrit sur son invitation, il était parvenu in extremis à résister à la tentation de le lire.
Puis vint l'épiphanie: la perception d'un buffet entier de petites sucreries. Un tel spectacle était presque trop beau pour un homme aussi modeste, et rien déjà ne pouvait le retenir, son objectif était clair. Il allait le dévaliser, le ravager, piller ses richesses et s'enfuir en ricanant, corbeau sur l'épaule. Puis vint une deuxième vision, celle d'un gardien, d'un défi. Son pas était déjà certain, son objectif clair: le pirate ne pouvait plus reculer sans paraître faible. Alors il ralentissait le pas, mais avançait inexorablement, fixant les lunettes noires. Le regardait-elle, le jaugeait-elle, que de mystères.
Alors démarra le duel, l'affrontement grandiose. Gallows glissait tranquillement sur son flanc, la fixant toujours d'une mirette gageuse (le cache-œil était resté, soyons sérieux) dans le plus grand des silences. C'était presque une partie d'échecs, une guerre à grande échelle, un combat à mort! Brave autant qu'inconscient, le général Irlandais donnait le premier assaut sur les fortifications Santer: sa main venait lourdement prendre un muffin pour le porter à ses lèvres. Avant de croquer dans le divin délice, il se permettait une dernière provocation.
Un haussement de sourcil amusé, puis un plissement d'œil moqueur. Le message était clair, il avait joué et attendait son tour à nouveau, ne sachant pas même qu'il avait affaire à la matriarche de la famille hôte.
Il priait par ailleurs ne pas avoir affaire à une aveugle, c'eut été suffisant pour le gêner sur les trois prochaines années.
Puis vint l'épiphanie: la perception d'un buffet entier de petites sucreries. Un tel spectacle était presque trop beau pour un homme aussi modeste, et rien déjà ne pouvait le retenir, son objectif était clair. Il allait le dévaliser, le ravager, piller ses richesses et s'enfuir en ricanant, corbeau sur l'épaule. Puis vint une deuxième vision, celle d'un gardien, d'un défi. Son pas était déjà certain, son objectif clair: le pirate ne pouvait plus reculer sans paraître faible. Alors il ralentissait le pas, mais avançait inexorablement, fixant les lunettes noires. Le regardait-elle, le jaugeait-elle, que de mystères.
Alors démarra le duel, l'affrontement grandiose. Gallows glissait tranquillement sur son flanc, la fixant toujours d'une mirette gageuse (le cache-œil était resté, soyons sérieux) dans le plus grand des silences. C'était presque une partie d'échecs, une guerre à grande échelle, un combat à mort! Brave autant qu'inconscient, le général Irlandais donnait le premier assaut sur les fortifications Santer: sa main venait lourdement prendre un muffin pour le porter à ses lèvres. Avant de croquer dans le divin délice, il se permettait une dernière provocation.
Un haussement de sourcil amusé, puis un plissement d'œil moqueur. Le message était clair, il avait joué et attendait son tour à nouveau, ne sachant pas même qu'il avait affaire à la matriarche de la famille hôte.
Il priait par ailleurs ne pas avoir affaire à une aveugle, c'eut été suffisant pour le gêner sur les trois prochaines années.
qrjlgeryglerg je me permet de tomber comme un météore sur ce rp, si ça te va pas je me retire sans soucis D:
Invité
I don't wanna dance
Bientôt les charognards approchent du buffet et bientôt les festivités peuvent commencer. Charity ne se prive pas pour lancer des regards pleins de jugements aux gens qui s'empiffrent, baissant ses lunettes pour jauger le bourrelet d'un homme, demandant à une trentenaire quelle est la date de l'accouchement puis laissant échapper auprès d'un groupe d'adolescents un petit commentaire comme quoi le chocolat favorise l'acné. Oh c'est très vilain, mais à son âge, on s'occupe comme on peut vous voyez.
Alors que Charity s'apprête à saborder un couple un peu trop niaiseux à son goût, son regard tombe sur un drôle de bonhomme en costume bon marché en train de la dévisager entre deux bouchées de muffin. Diantre, comment a-t-il pu échapper à son radar celui-là ? Elle veut tourner la tête et faire comme si de rien plutôt que de reconnaitre sa défaite mais trop tard : elle sait qu'il sait qu'elle l'a vu. Et en principe, quand deux personnes se dévisagent pendant au moins cinq longues secondes, il est de bon ton de dire quelque chose, histoire de.
En principe.
▬ Euh... Si c'est intelligent c'est encore mieux. Bon sang, seraient-ce les hormones ? Pourquoi faut-il qu'elle ait perdu sa réparti pile au moment où elle en a besoin ? Devant l'audace de ce pilleur de patisseries, la Santer se retrouve pantoise et ne trouve d'autre accroche que : Mademoiselle Elizabeth ?
Non impossible, ce serait quand même un cruel coup du destin que de l'affabuler à un énergumène pareil ! En plus il a des miettes sur sa chemise ! Ah oui les miettes. Parfait ! Charity trouve de quoi se rattraper et fronce légèrement le nez en ajoutant avec un air moqueur, pointant une pépite de chocolat coincée dans le menton broussailleux de l'inconnu :
▬ Vous faites des réserves pour plus tard ? Pas d'inquiétudes, je crois qu'il y en a assez pour toute la nuit. Et toc, l'honneur est sauf (enfin presque).
Alors que Charity s'apprête à saborder un couple un peu trop niaiseux à son goût, son regard tombe sur un drôle de bonhomme en costume bon marché en train de la dévisager entre deux bouchées de muffin. Diantre, comment a-t-il pu échapper à son radar celui-là ? Elle veut tourner la tête et faire comme si de rien plutôt que de reconnaitre sa défaite mais trop tard : elle sait qu'il sait qu'elle l'a vu. Et en principe, quand deux personnes se dévisagent pendant au moins cinq longues secondes, il est de bon ton de dire quelque chose, histoire de.
En principe.
▬ Euh... Si c'est intelligent c'est encore mieux. Bon sang, seraient-ce les hormones ? Pourquoi faut-il qu'elle ait perdu sa réparti pile au moment où elle en a besoin ? Devant l'audace de ce pilleur de patisseries, la Santer se retrouve pantoise et ne trouve d'autre accroche que : Mademoiselle Elizabeth ?
Non impossible, ce serait quand même un cruel coup du destin que de l'affabuler à un énergumène pareil ! En plus il a des miettes sur sa chemise ! Ah oui les miettes. Parfait ! Charity trouve de quoi se rattraper et fronce légèrement le nez en ajoutant avec un air moqueur, pointant une pépite de chocolat coincée dans le menton broussailleux de l'inconnu :
▬ Vous faites des réserves pour plus tard ? Pas d'inquiétudes, je crois qu'il y en a assez pour toute la nuit. Et toc, l'honneur est sauf (enfin presque).
Je suis sincèrement désolée pour le temps de réponse gvdjilfdkj
Si d'autres gens veulent se joindre c'est avec plaisir !
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Capt'n Gallows
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Charity et la chocolaterie
Aye me hearties
Sa maline fente n'était pas passée inaperçue, mais c'était certes le but. Lui qui s'attendait à un vaillant duel de verve et à des tactiques grandioses verbales était quelque peu déçu, il avait déjà gagné. Le brin d'hésitation dans la voix de la gardienne était suffisant, et la perche tendue était une ouverture où il fallait frapper sans pitié.
"Navré, vous devez m'avoir confondu avec quelqu'un d'autre. Je ne connais pas cette Elizabeth, mais je la plains si elle me ressemble. Peut-être vos lunettes vous empêchent de bien voir?"
Un pirate n'avait aucune clémence ni aucun honneur, l'important était de piller le buffet devant les yeux impuissants et la bouche mutée du cerbère à une tête. Il s'apprêtait même à enchaîner sur une légende des plus loufoques pour la terroriser et inspirer un dégoût notable sur son visage, mais quelque chose vint surprendre le Capitaine fier et beau. Son humour, subtil et caustique, un poison que l'on sentait sans le craindre. C'était peut-être un échappatoire à la gêne, mais l'un des meilleurs et des plus vicieux. Connor était tenté de surenchérir en racontant qu'il gardait des restes pour nourrir les lémuriens sauvages des égouts, mais il avait au moins eu le temps de faire le calcul que ce pourrait lui valoir son exclusion des festivités. Il devait riposter certes, mais avec les armes de la maison. Il se lissait la barbe pour se donner un air savant, puis surtout pour chasser la triste miette qui lui valut telle humiliation, avant de répondre.
"Ma foi, les sucreries sont si parfaites que j'en perd ma contenance, j'en perd mon identité. J'ai même cru oublier l'instant où vous vous êtes présentée ou m'avez dit bonjour. Je me rattrape! Bonjour. Mais qui êtes-vous?"
Au diable les présentations, il ne savait même pas quel nom figurait sur son invitation, et le nom qu'il sortirait de toute manière n'allait correspondre à rien de vrai ou juste. C'était ça, la beauté des fêtes: le chaos, celui qu'il s'entêtait de nourrir. Parlant de nourrir, il empoignait un gâteau qui traînait et l'engouffrait, puis un autre, et mettait un troisième sans discrétion aucune dans une serviette qui traînait, puis dans sa poche droite.
"Navré, vous devez m'avoir confondu avec quelqu'un d'autre. Je ne connais pas cette Elizabeth, mais je la plains si elle me ressemble. Peut-être vos lunettes vous empêchent de bien voir?"
Un pirate n'avait aucune clémence ni aucun honneur, l'important était de piller le buffet devant les yeux impuissants et la bouche mutée du cerbère à une tête. Il s'apprêtait même à enchaîner sur une légende des plus loufoques pour la terroriser et inspirer un dégoût notable sur son visage, mais quelque chose vint surprendre le Capitaine fier et beau. Son humour, subtil et caustique, un poison que l'on sentait sans le craindre. C'était peut-être un échappatoire à la gêne, mais l'un des meilleurs et des plus vicieux. Connor était tenté de surenchérir en racontant qu'il gardait des restes pour nourrir les lémuriens sauvages des égouts, mais il avait au moins eu le temps de faire le calcul que ce pourrait lui valoir son exclusion des festivités. Il devait riposter certes, mais avec les armes de la maison. Il se lissait la barbe pour se donner un air savant, puis surtout pour chasser la triste miette qui lui valut telle humiliation, avant de répondre.
"Ma foi, les sucreries sont si parfaites que j'en perd ma contenance, j'en perd mon identité. J'ai même cru oublier l'instant où vous vous êtes présentée ou m'avez dit bonjour. Je me rattrape! Bonjour. Mais qui êtes-vous?"
Au diable les présentations, il ne savait même pas quel nom figurait sur son invitation, et le nom qu'il sortirait de toute manière n'allait correspondre à rien de vrai ou juste. C'était ça, la beauté des fêtes: le chaos, celui qu'il s'entêtait de nourrir. Parlant de nourrir, il empoignait un gâteau qui traînait et l'engouffrait, puis un autre, et mettait un troisième sans discrétion aucune dans une serviette qui traînait, puis dans sa poche droite.
t'inquiète donc pas UwU
Et oui bienvenue aux gens inconnus venez si vous voulez \o/
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Arthur
Âge : 30 ans
Arcane liée : La Lune
Occupation : Futur directeur du casino le Faucon d'or / Chef du gang de l'Aile pourpre
Avatar : Hawks - MHA
Messages : 20
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Ce soir, les paris sont ouverts. Pour mon plus grand plaisir.
Tu n’as jamais été vraiment contre les soirées mondaines. Il faut dire qu’avec ta famille, c’est assez courant que des bals soient organisés. Tu sais donc comment t’y comporter, et comment bien paraître. Néanmoins, durant toute ta scolarité à l’université de Salem, tu as été tenu éloigné des affaires des Lionheart, menant une vie un peu plus proche du « bas peuple » comme on pourrait les appeler. Il n’est donc pas non plus étonnant que tu aies pu perdre en étiquette.
Après tout, tu es chef d’un gang trafiquant de drogue, en plus d’être un geek invétéré et désormais vice-directeur du casino le Faucon d’Or. Tu es un homme plein de surprises qui se vêtit de nombreuses casquettes, avec une très grande aisance. Tu aimes faire de nouvelles expériences, et surtout, toucher à tout. Ton esprit est toujours en constant recherche de nouveauté et surtout, de pouvoir. On ne peut être ambitieux et s’arrêter qu’à un seul marché, n’est-ce pas ? Le bal qui est organisé par la Santer est loin de te rebuter, qu’importe les griefs que vos deux familles peuvent connaître.
Tu te considères comme un peu plus distant par rapport à ce clan, bien que ta fidélité sera toujours pour les Lionheart. Toutefois, tu n’es pas homme à refuser de nouvelles affaires, et de nouveaux clients. Tu penses dur comme fer que l’argent peut passer au-delà de toutes les rivalités, et personne ne peut résister quant à jouer sa chance au casino. C’est le lieu où toutes les querelles prennent fin, où toutes les classes sociales se croisent. On y touche son rêve du bout des doigts, pour finalement tout perdre.
C’est là que se retrouvent les pauvres désireux d’une nouvelle vie, et les riches, en quête de frisson. Et ce frisson, tu peux aussi leur fournir d’une autre façon, via des produits illicites. Tu n’oublies pas ton autre casquette, celui de trafiquant de drogue. Tu te demandes d’ailleurs si tu peux laisser un peu de drogue dans la fontaine à chocolat, simplement afin de t’amuser. Bien sûr, tu n’iras pas proposer de la drogue sous le nom de Hawks, le pseudonyme que tu utilises en tant que chef de gang. Tu proposeras simplement en tant que jeune riche, qui sait comment s’amuser. Et tu imagines bien que dans le milieu des bourgeois, il n’est pas rare de se droguer !
A l’intérieur du bal, tu regardes un peu partout, curieux. Il y a beaucoup de monde. Pas étonnant, la famille Santer est assez appréciée. Dommage qu’elle ne s’entende pas avec ta propre famille, vous auriez pu faire de sacrées affaires. Tu finis par t’approcher du buffet, d’abord pris d’une faim irrépressible lorsque tu vois tous les mets qui se trouvent sur la table. Et alors que tu attrapes une coupe de champagne, et saisis un muffin, tu remarques une drôle de scène qui se joue devant toi. Tu reconnais Charity Santer, la femme qui était une amie de ta défunte mère. C’est un peu douloureux de la voir, alors que ta génitrice est partie depuis si longtemps. Tu refoules ce sentiment d’amertume, et préfère te concentrer sur ce pauvre homme qui essaye de séduire l’éminente femme qui se trouve devant lui.
-100$ si vous parvenez à obtenir le numéro de Madame Santer.
Tu lances comme pari, à l’encontre de l’aventurier. Tu te rapproches d’eux en sirotant ton champagne, prenant tes aises en t’appuyant contre la table du buffet.
-Et 200 si vous parvenez à l’inviter à dîner.
Tu augmentes la mise, clairement amusé par la comédie qui se joue devant toi. Tu ne penses pas que Charity se laissera avoir, mais tu serais vraiment curieux de voir si le roturier est capable de faire fondre le cœur de dame Santer.
hrp : Je me permets de répondre, comme me l'a autorisé Charity !
The Unnamed
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Arcane liée : dieu
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Intervention
Invités ou hôtes,
que vous soyez sur la piste à valser,
une coupe de champagne entre les mains,
à échanger des banalités
ou encore près du buffet à contempler les couples qui se sont déjà trouvés
où que vous soyez, vous l'entendez.
Le bruit, ce son qui soudain envahit la salle toute entière. Un écho caverneux suivi d'un message sinistre. La voix griche, déformée, comme si elle provenait d'une radio. D'un poste d'enregistrement.
« Dans le noir, vous vous détournez de la lumière. Encore. Encore. Vous jouez à Dieu, nous vous avions prévenu, mais vous n'écoutez rien. Prenez garde au jour désormais, car la vérité vous punira même sous le soleil. »
Le message se coupe brusquement. Silence. Ceux qui étaient présents au Bal d'Argent, il y a un an, peuvent avoir l'impression de reconnaître cette voix trafiquée. Et tous se souviennent de la mort soudaine d'Alfred Miller, cartomancien de Crucible.
Invité
I don't wanna dance
Est-ce le karma qui se joue d'elle ou les cartes qui ont répondu à ses prières ? Voilà que l'inconnu, non content de lui chaparder à manger sous son nez lui répond ! D'accord c'est un buffet à volonté mais on dit bonjour au moins avant de se servir non ? Vous entendez ça, lui répond ! Pardon ? Heureusement que les lunettes sont bien opaques, ce pas-Elizabeth ne peut pas apercevoir la façon dont Charity bat des cils derrière, mi-outrée, mi-amusée. Est-ce un défi ?
▬ Pas d'inquiétude pour ma vision, par contre j'espère que s'il y a bien une chose que vous ne perdrez pas à cause du sucre, ce sont vos dents ! Et bonne (non) joueuse, elle tend une main gantée pour une poignée bien ferme. Celle avec laquelle les gens farouches ont l'habitude de se présenter quitte un peu à écraser au passage les phalanges de leurs vis-à-vis. Charity Santer, votre hôtesse pour la soirée. Ou Monsieur Darcy si vous préférez. Fidèle à ma réputation, je ne vous invite pas à danser. Du moins pas le genre de danse qui se pratique sur la piste avec un bon jeu de pieds. Plus celle à coups de mots tranchants et de taquineries à peine déplacées.
Hélas, la partie n'a pas le temps de bien commencer que l'apparition fortuite de son cher mari la fait immédiatement renoncer. Ainsi donc Monsieur Santer daigne pointer le bout de son nez sans la saluer ? Oh pas ce soir.
▬ Mes excuses, une urgence familiale m'appelle. Je vois que mon époux me cherche. Mensonge à peine éhonté. C'est elle le missile à tête chercheuse dans le couple.
Cependant, Charity a à peine le temps de faire claquer ses talons sur le sol qu'un bruit affreux la stoppe net sur ses pas. Qu'est-ce que ? Alors là pour le coup Charity enlève ses lunettes, pas sûre de ne pas rêver.
▬ Tiens donc. Nous avons donc un petit plaisantin ce soir, comme c'est cocasse. Pas de panique, mesdames et messieurs, tout est sous contrôle. Clame-t-elle à voix haute à l'intention des autres invités avant d'esquisser une grimace mécontente en s'apercevant qu'elle a perdu de vue son mari. Elle espère sincèrement que ce dernier est parti fissa inspecter la sécurité. Elle, elle serre les poings et les dents et se dirige d'un pas déterminé vers le DJ pour demander des explications (et lui sucrer sa paye du soir tiens, ça t'apprendra à te faire pirater), abandonnant définitivement son buffet aux mains de la non-Elizabeth et ce charmant (mais insupportable) Arthur qui, sentant l'odeur du sang, est venu y mettre son grain de sel en bon charognard de Lionheart qu'il est.
▬ Pas d'inquiétude pour ma vision, par contre j'espère que s'il y a bien une chose que vous ne perdrez pas à cause du sucre, ce sont vos dents ! Et bonne (non) joueuse, elle tend une main gantée pour une poignée bien ferme. Celle avec laquelle les gens farouches ont l'habitude de se présenter quitte un peu à écraser au passage les phalanges de leurs vis-à-vis. Charity Santer, votre hôtesse pour la soirée. Ou Monsieur Darcy si vous préférez. Fidèle à ma réputation, je ne vous invite pas à danser. Du moins pas le genre de danse qui se pratique sur la piste avec un bon jeu de pieds. Plus celle à coups de mots tranchants et de taquineries à peine déplacées.
Hélas, la partie n'a pas le temps de bien commencer que l'apparition fortuite de son cher mari la fait immédiatement renoncer. Ainsi donc Monsieur Santer daigne pointer le bout de son nez sans la saluer ? Oh pas ce soir.
▬ Mes excuses, une urgence familiale m'appelle. Je vois que mon époux me cherche. Mensonge à peine éhonté. C'est elle le missile à tête chercheuse dans le couple.
Cependant, Charity a à peine le temps de faire claquer ses talons sur le sol qu'un bruit affreux la stoppe net sur ses pas. Qu'est-ce que ? Alors là pour le coup Charity enlève ses lunettes, pas sûre de ne pas rêver.
▬ Tiens donc. Nous avons donc un petit plaisantin ce soir, comme c'est cocasse. Pas de panique, mesdames et messieurs, tout est sous contrôle. Clame-t-elle à voix haute à l'intention des autres invités avant d'esquisser une grimace mécontente en s'apercevant qu'elle a perdu de vue son mari. Elle espère sincèrement que ce dernier est parti fissa inspecter la sécurité. Elle, elle serre les poings et les dents et se dirige d'un pas déterminé vers le DJ pour demander des explications (et lui sucrer sa paye du soir tiens, ça t'apprendra à te faire pirater), abandonnant définitivement son buffet aux mains de la non-Elizabeth et ce charmant (mais insupportable) Arthur qui, sentant l'odeur du sang, est venu y mettre son grain de sel en bon charognard de Lionheart qu'il est.
Charity s'out du sujet pour le clore si vous voulez mais si Arthur et Capt'n veulent essayer de lui courir après why not (attention là elle est d'humeur à mordre). Navrée pour l'attente ;w;
Capt'n Gallows
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Charity et la chocolaterie
Aye me hearties
L'hôtesse de maison avait beau prétendre que tout était sous contrôle, le seul fait qu'elle ait besoin de le crier montrait que ça n'était que partiellement vrai. Le message aurait pu inquiéter Connor comme le reste des invités, mais il ne se sentait pas bien menacé par quiconque. Et puis, qui oserait s'attaquer à un pirate de légende, hm?
Que la dame le fuie comme la peste cependant le blessait quelque part, et il se retenait de sentir ses propres aisselles pour s'assurer qu'il n'était pas venu à diffuser quelque odeur atroce à son insu. Lui qui ne connaissait pas l'époux, et avait encore moins réussi à l'identifier dans la foule, croyait à une excuse polie mais fausse pour signifier qu'il était une fort mauvais compagnie, mais savait pertinemment qu'il le méritait de toute manière.
Restant dans le thème des mauvaises compagnies, les mains emplies de chocolateries, et la panse déjà fort nourrie, il se retournait vers l'autre invité. Il ne le connaissait ni d'Ève ni d'Adam bien sûr, mais la seule formulation du pari lui faisait entrevoir qu'ils avaient une essence commune quelque part.
"Gardes-y ton argent au chaud, petit. On se revoit l'année prochaine, et t'auras une dette envers mon charme incroyable."
Est-ce qu'il voulait vraiment faire la cour à la matriarche? Non, mais l'on traitait de deux-cents balles, et aucun trésor n'est trop insignifiant pour le capitaine. Il était cependant surprenant qu'un jeune soit capable d'investir autant dans un pari stupide, et déjà Gallows levait un sourcil dubitatif.
"Remarque, si t'as des thunes à jeter par la fenêtre, pense à investir dans le protection des soirées Santer. La demande va exploser, j'ai l'impression."
Il était ironique qu'il propose tel projet à cette personne en particulier, mais le pauvre hère avait une triste mémoire des visages et des noms.
Que la dame le fuie comme la peste cependant le blessait quelque part, et il se retenait de sentir ses propres aisselles pour s'assurer qu'il n'était pas venu à diffuser quelque odeur atroce à son insu. Lui qui ne connaissait pas l'époux, et avait encore moins réussi à l'identifier dans la foule, croyait à une excuse polie mais fausse pour signifier qu'il était une fort mauvais compagnie, mais savait pertinemment qu'il le méritait de toute manière.
Restant dans le thème des mauvaises compagnies, les mains emplies de chocolateries, et la panse déjà fort nourrie, il se retournait vers l'autre invité. Il ne le connaissait ni d'Ève ni d'Adam bien sûr, mais la seule formulation du pari lui faisait entrevoir qu'ils avaient une essence commune quelque part.
"Gardes-y ton argent au chaud, petit. On se revoit l'année prochaine, et t'auras une dette envers mon charme incroyable."
Est-ce qu'il voulait vraiment faire la cour à la matriarche? Non, mais l'on traitait de deux-cents balles, et aucun trésor n'est trop insignifiant pour le capitaine. Il était cependant surprenant qu'un jeune soit capable d'investir autant dans un pari stupide, et déjà Gallows levait un sourcil dubitatif.
"Remarque, si t'as des thunes à jeter par la fenêtre, pense à investir dans le protection des soirées Santer. La demande va exploser, j'ai l'impression."
Il était ironique qu'il propose tel projet à cette personne en particulier, mais le pauvre hère avait une triste mémoire des visages et des noms.
du coup Gallows laisse fuir Charity, jean-gang c'est toi qui voit où ça part.|
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![](https://i.imgur.com/tb40Z76.png")
