Accueilun deux
ils sont heureux.
trois quatre
ils marchent à quatre pattes.
cinq six
j'aime la saucisse.
sept huit
quand elle est cuite.
deux de plus au bûcher. c'est pas grave. aucune caméra dans les maisons. personne n'est du fbi c'est un trou de tarés. rigole. on dira c'est les loups de la forêt
dans la jolie petite ferme
qui ont dévoré les dix lapins.
lune. ce soir on ne demande rien pour les santer
lune. ce soir tu répondras, dans les corps en feu
que dois-je faire, lune. car c'est terrible
imagines-tu comme
je m'ennuie fucking beaucoup
et dans les flammes retrousser le nez ty
oh comme ça pue, loin des odeurs de ragoût
il y a un corps malade parmi les dix apôtres
(on en a épargné deux,
généreux)
on a le fixe soudain sur les dix petits bûchers dans la clairière. chercher celui qui dégage la mauvaise odeur. on a le fixe, car on comprend le signe, qui nous agresse le nez.
sourire ty
oh, tu as raison lune.
sourire de la forêt à la ville
sourire de la ville à ta porte
sourire quand on cogne quand tu ouvres
dans les yeux c'est fourré l'odeur des lapins
(lapin malade)
et te voir ça fait battre le cœur
frénétiquement bien ty, car la lune encore
à tes ordres a diverti ta nuit
(lapin malade)
sourire tellement figé
paraître naturel ty comme si tu ne venais pas de barbouiller tes mains de sang
dans la nuit on dirait de la terre séchée non ? c'est noir c'est sombre qui dira c'est du sang de lapins immolés.
sourire
hey, riv.
est-ce que tu t'ennuyais toi aussi ?
j'viens pour des exclusivités.
clin d'œil.
Nana
Âge : vingt-quatre
Arcane liée : uwu
Occupation : concierge
Avatar : oc (firebear_62 (akaka55))
Messages : 40
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Rivage
Âge : 23 y.o.
Arcane liée : la tour
Occupation : mannequin (hacker & dealer)
Avatar : itachi uchiha — naruto
Messages : 39
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il y a des vagues qu'on ne voit pas arriver
Un appartement plongé dans la pénombre, vide, comme en suspend. La lumière bleutée de l'ordinateur jette un voile froid sur les draps dérangés. Le corps blanc alangui dans leurs plis ne dort pas. Son regard se perd dans les rainures infinies du bois.
Il y a une lettre posée sur le sol à coté de lui. Il y a des dizaines de lettres. Jamais ouvertes, on a pas envie de voir le compte à rebour. Le cœur bat fort, trop fort, très fort. Il bat douloureusement.
C'est dur de vivre en suspens. Mais on croit qu'on s'y est fait. Mais parfois, il y a des énergies inconnues qui bouleverse notre monde bien établi.
Ce soir encore, elle frappe à la porte. Rivage s'extirpe des draps, un seul jogging bas trop bas sur ses hanches pâles. Il sait que c'est, il n'y a que la Lune pour venir si tard. Il ouvre et le voilà, grand avec cette lumière un peu folle au fond des yeux. Dans la nuit on voit sans voir le sang sombre tout autour de toi, on reconnait l'odeur des animaux immolés qui flotte autour de toi. Le chat roulé sur le clavier de l'ordinateur allumé se lève et va se cacher sous la charpente.
Il finira par redescendre. Cet animal inconscient aime la Lune, il aime Ty. Et Rivage lui est dévoué.
- Hey Ty.
Sourire qui naît sur les lèvres alors qu'on s'efface pour te laisser entrer. La porte refermée dans son dos et glisser doucement les mains sur les épaules pour débarrasser la veste et la faire choir sur le sol. Il le pousse vers la salle de bain, l'accompagne doucement. Les mains qui entourent sa taille, le nez contre son dos.
- Tu sens le rôti. Qu'est-ce que t'as foutu encore ?
Passe une main au-devant de toi, moi accroché dans ton dos, nos doigts entrelacés et le sang sombre qui tâche ma peau blanche.
- Les exclus c'est pour les gens propres. Ça me fait pas assez bander l'odeur d'animal cramé.
Mais au fond, rien que ta présence nous embrase et on se sent vivant au creux de ton aura.
Il y a une lettre posée sur le sol à coté de lui. Il y a des dizaines de lettres. Jamais ouvertes, on a pas envie de voir le compte à rebour. Le cœur bat fort, trop fort, très fort. Il bat douloureusement.
C'est dur de vivre en suspens. Mais on croit qu'on s'y est fait. Mais parfois, il y a des énergies inconnues qui bouleverse notre monde bien établi.
Ce soir encore, elle frappe à la porte. Rivage s'extirpe des draps, un seul jogging bas trop bas sur ses hanches pâles. Il sait que c'est, il n'y a que la Lune pour venir si tard. Il ouvre et le voilà, grand avec cette lumière un peu folle au fond des yeux. Dans la nuit on voit sans voir le sang sombre tout autour de toi, on reconnait l'odeur des animaux immolés qui flotte autour de toi. Le chat roulé sur le clavier de l'ordinateur allumé se lève et va se cacher sous la charpente.
Il finira par redescendre. Cet animal inconscient aime la Lune, il aime Ty. Et Rivage lui est dévoué.
- Hey Ty.
Sourire qui naît sur les lèvres alors qu'on s'efface pour te laisser entrer. La porte refermée dans son dos et glisser doucement les mains sur les épaules pour débarrasser la veste et la faire choir sur le sol. Il le pousse vers la salle de bain, l'accompagne doucement. Les mains qui entourent sa taille, le nez contre son dos.
- Tu sens le rôti. Qu'est-ce que t'as foutu encore ?
Passe une main au-devant de toi, moi accroché dans ton dos, nos doigts entrelacés et le sang sombre qui tâche ma peau blanche.
- Les exclus c'est pour les gens propres. Ça me fait pas assez bander l'odeur d'animal cramé.
Mais au fond, rien que ta présence nous embrase et on se sent vivant au creux de ton aura.
Nana
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b u r n i n g
neonsn i g h t
on a promis. pardon au petit regard qui lorgne la chair si vivante – ô dame lune n’aimes-tu pas dans tes légendes les chats noirs les chats errants les chats rien que chats – mais on a promis. pardon. ce n’est qu’un regard.
te fera pas de mal petit chat.
c’quoi son nom d’jà ?
désinvolture et sourire éclatant. croissant de dame lune.
puis entre quand rivage s’écarte. se laisse faire, la veste empeste de toute façon et on regarde ses mains tandis que tu le pousses dans ta salle de bain. ses mains toutes sales dont l’odeur ne décolle, les tiennes autour de sa taille et le sourire s’étire.
juste un ragoût pour dix, baby. mais j’ai exagéré, je m’ennuyais tu sais.
quand tes doigts viennent se glisser entre les siens, ty on les étudie comme des pierres précieuses ; des pierres de sel qui apaisent les ondes. les ondes lunaires. calme-toi ô dame lune, je n’ai plus de question. je suis arrivé à destination.
laisse échapper un rire.
dis-moi quelle odeur te fait bander, baby j’allumerai des chandelles artisanales que tu ne sentes que ça. que ça.
saisir tes doigts tout délicatement et dans ton étreinte se retourner. de sa hauteur de pousser pousser vers le bain. sourire sourire et l’éclat dans le noir des yeux, mais on a promis.
on ne brûlera que les envies ici.
si j’te donne l’exclu de voir ma transformation, ça t’dit ? de redneck sale à gentleman de la nightlife.
rapproche son visage.
te fera pas de mal petit chat.
c’quoi son nom d’jà ?
désinvolture et sourire éclatant. croissant de dame lune.
puis entre quand rivage s’écarte. se laisse faire, la veste empeste de toute façon et on regarde ses mains tandis que tu le pousses dans ta salle de bain. ses mains toutes sales dont l’odeur ne décolle, les tiennes autour de sa taille et le sourire s’étire.
juste un ragoût pour dix, baby. mais j’ai exagéré, je m’ennuyais tu sais.
quand tes doigts viennent se glisser entre les siens, ty on les étudie comme des pierres précieuses ; des pierres de sel qui apaisent les ondes. les ondes lunaires. calme-toi ô dame lune, je n’ai plus de question. je suis arrivé à destination.
laisse échapper un rire.
dis-moi quelle odeur te fait bander, baby j’allumerai des chandelles artisanales que tu ne sentes que ça. que ça.
saisir tes doigts tout délicatement et dans ton étreinte se retourner. de sa hauteur de pousser pousser vers le bain. sourire sourire et l’éclat dans le noir des yeux, mais on a promis.
on ne brûlera que les envies ici.
si j’te donne l’exclu de voir ma transformation, ça t’dit ? de redneck sale à gentleman de la nightlife.
rapproche son visage.
wololo
mburakerman
Rivage
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il y a des vagues qu'on ne voit pas arriver
- Il en a pas, tu demandes à chaque fois.
Un rire doux, le regard perçant, on a vu tes yeux effleurer sa fourrure et imaginer les flammes l'embraser. On le sait, qu'elles font partie de toi, comme cette odeur de chair brûlée qui t'entoure.
Étrange sensation que d'être près de toi. Dans les phosphènes des yeux clos - juste une seconde, chasser le vertige - comme une impression volatile. Ignorer la tour, ignorer les signes.
- Un ragoût pour dix et pas une seule part pour moi ... tu fais vraiment aucun effort.
Soupir mais c’est ton rire qui, sur notre peau d'albâtre jette des milliers de frisson. Qu'il est bon de t'avoir contre nous, qu'il est bon de sentir le souffle fou de la Lune.
Sourire aguicheur, entendu, les yeux qui scintillent dans le noir et la peau qui appelle la peau, ton explosivité contre nos vagues mélancolies. Quelques pas en arrière, buter contre le rebord de la baignoire vide, s'y asseoir.
La joue contre ton bas-ventre et les yeux noirs (si noirs) qui te regardent d'en bas, les doigts qui se glissent sous le tee-shirt, remonte le long de la colonne vertébrale alors que Rivage se relève, vague échouée sur ton corps fou, Ty.
- La sueur. Tu sais, celle des baisers essoufflés la nuit.
Murmurer au creux de ton cou les mots, ils résonnent dans le silence, dans la noirceur bleutée de la salle de bain. Qu'il est bon d'être entre deux mondes avec toi, qu'il est bon d'être dans ton monde (le nôtre se meurt adieu).
- Donne moi le privilège d'y participer, et je serai encore plus heureux.
Clin d'oeil, baiser papillon sur la joue et Rivage se retourne, accroupi près de la baignoire, allume l'eau chaude.
Viens, on va se noyer dans les nuages, Ty.
Un rire doux, le regard perçant, on a vu tes yeux effleurer sa fourrure et imaginer les flammes l'embraser. On le sait, qu'elles font partie de toi, comme cette odeur de chair brûlée qui t'entoure.
Étrange sensation que d'être près de toi. Dans les phosphènes des yeux clos - juste une seconde, chasser le vertige - comme une impression volatile. Ignorer la tour, ignorer les signes.
- Un ragoût pour dix et pas une seule part pour moi ... tu fais vraiment aucun effort.
Soupir mais c’est ton rire qui, sur notre peau d'albâtre jette des milliers de frisson. Qu'il est bon de t'avoir contre nous, qu'il est bon de sentir le souffle fou de la Lune.
Sourire aguicheur, entendu, les yeux qui scintillent dans le noir et la peau qui appelle la peau, ton explosivité contre nos vagues mélancolies. Quelques pas en arrière, buter contre le rebord de la baignoire vide, s'y asseoir.
La joue contre ton bas-ventre et les yeux noirs (si noirs) qui te regardent d'en bas, les doigts qui se glissent sous le tee-shirt, remonte le long de la colonne vertébrale alors que Rivage se relève, vague échouée sur ton corps fou, Ty.
- La sueur. Tu sais, celle des baisers essoufflés la nuit.
Murmurer au creux de ton cou les mots, ils résonnent dans le silence, dans la noirceur bleutée de la salle de bain. Qu'il est bon d'être entre deux mondes avec toi, qu'il est bon d'être dans ton monde (le nôtre se meurt adieu).
- Donne moi le privilège d'y participer, et je serai encore plus heureux.
Clin d'oeil, baiser papillon sur la joue et Rivage se retourne, accroupi près de la baignoire, allume l'eau chaude.
Viens, on va se noyer dans les nuages, Ty.
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![](https://i.imgur.com/tb40Z76.png")
